Baselworld 2012 express (part. 3)
Dernier chapitre de mon Baselworld Express Tour 2012 (le Salon Mondial de l’Horlogerie et de la Bijouterie, à Bâle).
Résumé des épisodes précédents :
- Une première partie consacrée aux nouveautés de RJ-Romain Jerome, De Bethune, MB&F, HYT et Linde Werdelin (à lire ici)
- Une seconde mettant en lumière Cyrus, Perrelet, Casio et Christophe Claret (disponible ici)
- Ouvrons à présent ce troisième volet consacré à Frédérique Constant, Tag Heuer, Manufacture Royale, Ulysse Nardin et Bell & Ross.
Des articles complémentaires détailleront d’autres montres plus spécifiquement par la suite, stay tuned !
Frédérique Constant
Chez Frédérique Constant, outre la charmante Index Moon Timer (évoquée ici), saluons l’hommage à La Carrera Panamericana, course de rallye légendaire célébrant sa 24ème édition, personnifiée par un duo de montres venue agrémenter la collection Vintage Rallye de la marque. Dotée d’un boîtier de 43 mm, la Vintage Rallye Carrera Panamericana cache sous son « capot » un calibre à remontage manuel FC-435 avec petite seconde. Le cadran argent avec le logo de la course est disponible en deux versions : l’une avec index en acier, l’autre en plaqué or rose … A porter de préférence avec des gants de conduite assortis.
Tag Heuer
Tag Heuer a choisi la superbe Cameron Diaz pour devenir l’égérie de la Link Lady Diamond Star. Parée de diamants et d’or rose, la montre exerce son envoûtement par un mouvement automatique dont la masse oscillante tourne autour du cadran.
Dior
La maison Dior présentait sa collection VIII Grand Bal. Un mouvement automatique « Dior Inversé » dont la masse oscillante côté cadran est sertie de diamants, tout comme le cadran en nacre noire. Le boîtier de 38 mm ainsi que le bracelet sont adopte la céramique noire. Cette édition est limitée à 88 exemplaires.
Manufacture Royale
Après la montre Opéra, Manufacture Royale récidive avec « Androgyne« , un garde-temps qui se veut unisexe. La montre est équipée d’un mouvement mécanique à remontage manuel doté d’un tourbillon, produit, décoré et assemblé à la manufacture. La collection est déclinée en 11 modèles (or jaune, or rose, bronze, inox, etc.) dont les prix varient de 30 000 à 50 000 €.
Ulysse Nardin
La montre Marine Chronometer Manufacture 2012 d’Ulysse Nardin en impose avec son boîtier en or rose de 45 mm. Le cadran blanc beige en émail fabriqué à la main, visuellement apaisant et offrant une bonne lisibilité aux chiffres romains noirs.
Le mouvement automatique UN-118 délivre une réserve de marche de 60 heures avec indicateur sur le cadran ainsi qu’un quantième à 6 heures.
Bell & Ross
La collection BR 01 Tourbillon réunit 4 complications : le tourbillon (pour la correction des effets de la gravité), le trust index indiquant le moment où la montre est la plus précise, l’indicateur de réserve de marche et le régulateur qui décompose la lecture des heures et des minutes.
3 modèles or rose sont disponibles (or rose + titane, or rose avec cadran fibres de carbone et or rose avec cadran fibres d’aluminium).
Le boîtier de 46 mm présente un fond transparent avec glace saphir pour explorer le mouvement à remontage manuel d’une réserve de marche de 5 jours.
Et pour apaiser l’overdose générale d’or rose présente dans toutes les collections des marques horlogères, la BR01 Tourbillon Airborne est habillée d’un boîtier est en titane noir DLC (diamond like carbon) et présente un cadran des plus « mortels ».
Chaque montre est éditée en série limitée de 20 pièces.
Outre cette trilogie de Bâle, découvrez d’ores et déjà les focus sur les acidulées Marvin Malton duo colors, la géniale Devon Tread 2 ou encore la montre de plongée Tudor Pelagos.